La logothérapie, ou le sens de la vie.
Trouver un sens à sa vie, c’est comme le matin chercher sa clé dans sa poche !
C’est une bonne hygiène de vie !
Quoi de pire que les gens qui ne posent jamais de question.
La logothérapie a révolutionné l’approche de la psychologie. Et je vous invite à la découvrir !
Qui est Viktor Frankl ?
D’abord, je vous présente Viktor E Frankl.
Viktor E. Krankl est professeur de neurologie et de psychiatrie à la faculté de Vienne. Il fut l’élève de Freud et d’Adler.
Son approche différente de la psychologie et de la psychiatrie a révolutionné la psychothérapie. Il formalisme une approche alternative, par la logothérapie.
La psychothérapie de Frankl se tourne sur le sens de la vie.
C’est à dire se tourner sur le présent et l’avenir sans revenir dans les cauchemars freudiens de névrose de l’enfance. On ne déterre pas le passé. On apprivoise le présent et le futur. Pour mieux vivre dans le présent.
L’expérience de Frankl en camp de concentration.
Victor Krankl a passé de nombreuses années dans les camps de concentration pendant la seconde guerre mondiale.
Pas de blues ! Et restons positif sur ce billet.
Forcé d’effectuer les travaux forcés, chaque jour était une souffrance avec ses camarades prisonniers.
Il y perdit sa femme enceinte, son frère et ses parents.
Dans ses conditions, le sens de la vie prend toute sa résonance. Comment vivre, survivre pendant et après cette expérience ?
Comment trouver la force de vie au cours de ces moments inhumains ?
Son témoignage nous ramène à réfléchir sur le sens de la vie. Il a utilisé cette expérience pour réfléchir à cette notion, puissant mal de nos maux modernes : le sens.
« Le pire moment de la journée était le réveil, lorsque trois coups de sifflets déchiraient l’air et nous arrachaient sans pitié à notre sommeil et à nos rêves.
Nous luttions alors contre nos chaussures, car elles étaient souvent mouillées et nous avions les pieds gonflés et endoloris.
Un matin j’entendis quelqu’un, que je savais brave et digne, pleurer comme un enfant à l’idée qu’il allait devoir marcher nu-pieds dans la neige ( ses chaussures avaient tellement rétréci qu’il ne pouvait plus les enfiler ).
Pendant ce temps, je me consolais avec un petit morceau de pain que j’avais retiré de ma poche et que je mangeais avec délice ».
L’expérience de Frankl en camp de concentration a été cyniquement une expérience qui lui a permis de structurer, approfondir la psycho thérapie autour du sens de la vie.
Le sens de la vie est il universel ?
Le sens de la vie n’est pas une formule magique qui peut combler tout le monde.
C’est la raison pour laquelle, le vide existentiel, la recherche d’un sens à notre présence sur terre ont nourri des siècles de littérature. De philosophie, de religions.
Non, chaque homme doit trouver intimement le sens à sa vie.
« Ces tâches, qui donnent un sens à la vie, sont différentes pour chaque homme et à chaque moment.
Il est donc impossible de définir le sens de la vie de manière générale.
On ne peut répondre aux questions concernant le sens de la vie par des généralisations hâtives.
La « vie » n’est pas quelque chose de vague, elle est, au contraire, très réelle et très concrète aussi. Elle dessine le destin de l’homme, et chaque destin est unique et différent. On peut comparer ni les hommes ni les destins.
Aucune situation ne peut se répéter et chaque situation dans laquelle un homme se trouve exige qu’il ait recours à l’action pour son propre destin.
D’autres fois, il est plus avantageux pour lui de s’adonner à la contemplation et de s’accomplir dans la spiritualité.
Parfois, l’homme doit tout simplement accepter le destin et porter sa croix. Ce qui caractérise chaque situation est son unicité ; il n’y a qu’une seule bonne réponse ai problème que nous pose une situation particulière.
J’aime le parallèle que fait Viktor E. Frankl,
A la question large » Quel est le sens de la vie ? », Frankl répond en faisant le parallèle avec un champion de jeux d’échecs.
A la question : « Quelle stratégie pour gagner une partie d’échecs ? »
Le champion répond qu’il n’y a pas de règle générale. Que chacune partie est différente.
De la même façon, on ne peut répondre de façon précise à la question du sens de la vie. Et pourquoi vivre ?.
La chose claire, cependant, c’est que ce pourquoi vivre, le sens de la vie est essentiel pour avancer dans la vie.
Et de là tout découle quant à la force de l’homme. Et avec ce sens de la vie tout le reste devient plus simple et limpide quant au chemin qu’on doit mener au quotidien.
Citant Nietsche :
« Celui qui a un pourquoi qui lui tient de but, de finalité, peut vivre avec n’importe quel comment ».
Son passé construit sa vie. Ineffaçable et tellement unique.
Frankl se rappelle des décès quotidiens en camp de concentration. Les décès n’étaient pas toujours dû à la maladie ou à la faim. Mais à une autre cause : c’était la perte de l’espoir.
Aussi les humiliations, les tortures, la privation de nourriture causaient la mort. Mais ce qui restait rendait plus fort.
Citant toujours Nietzsche :
« ce qui ne m’anéantit pas me rend plus fort ».
Aussi, Viktor frankl parlait à ses camarades de l’avenir dans la terrible épreuve de camp forcé.
L’espoir c’est aussi considérer que sa vie est unique, indélébile, quoi qu’il arrive.
« Was du erlebt, kann keine Macht der Welt dir rauben ».
‘Ce que tu as vécu personne ne peut te le ravir’.
« Non seulement nos expériences, mais les actes que nous avons posés, les bonnes pensées que nous avons eues et toutes nos souffrances, personne ne peut nous les enlever.
Même lorsque ces choses feront partie du passé, elles ne seront pas perdues, car nous les avons suscitées. Le passé est aussi présent que le présent, sinon plus ».
Définissons la logothérapie !
Frankl, dans son ouvrage « découvrir un sens à la vie avec la logothérapie« , explique en quelques mots ce qu’est la logothérapie :
« Laissez-moi vous expliquer pourquoi j’ai appelé mon approche la logothérapie. Le terme logos, en grec, signifie raison.
La logothérapie se penche tant sur la raison de vivre de la personne que sur ses efforts pour en découvrir une : ces efforts, à mon avis, constituent une force motivante fondamentale chez l’être humain.
C’est pourquoi je parle de « recherche d’un sens à la vie » plutôt que de la recherche du plaisir.
Différences de la logothérapie avec les psychothérapies traditionnelles.
La logothérapie est une troisième approche différente de ses maîtres de la psychothérapie :
- la psychothérapie de Freud se tourne sur la recherche du plaisir. De la libido, de ses problèmes
- la psychothérapie d’Adler se tourne autour de la volonté de puissance.
La recherche d’un sens à la vie constitue une motivation fondamentale et non « une rationalisation secondaire ».
Frankl va à rebrousse poil :
« Certains auteurs soutiennent que les raisons de vivre et les valeurs de l’homme ne sont rien d’autre que des mécanismes de défense, des formations réactionnelles et des sublimations. Quant à moi, je pense que ne pourrais pas vivre pour l’amour de mes « mécanismes de défense », pas plus que je ne serais prêt à mourir pour mes formations réactionnelles ».
16% des gens considèrent comme très important de gagner de l’argent, 78 % comme essentiel de trouver un sens à la vie ».
Les névroses noogènes. Le vide existentiel.
Ce n’est pas une maladie ou une névrose que de souffrir de ne pas avoir un sens à sa vie.
L’homme ne trouve pas toujours en effet cette raison de vivre. Ce que Frankl nomme « la frustration existentielle ».
La frustration existentielle peut amener à des névroses noogènes. Nos, du grec esprit . C’est à dire ces névroses prennent naissance non dans la dimension psychologique de l’existence humaine, mais plutôt dans sa dimension proprement humaine.
- L’exemple du diplomate !
Frankl prend l’exemple d’un diplomate qui n’aimait pas sa profession, et n’approuvait pas la politique étrangère de son gouvernement. Il avait fait une psychanalyse pendant plusieurs années.
Avec la conclusion du psychanalyste que son dégoût de son métier était à rechercher dans le rejet de sa figure paternelle et la haine qu’il éprouvait inconsciemment vis à vis de son père.
Le diplomate se diluait dans des considérations floues, entre une culpabilité renvoyée par son passé, et une réalité qui le paralysait. Changer de boulot lui fut tout simplement bénéfique.
La souffrance n’est donc pas toujours pathologique. Et il est normal de vivre certains de ces conflits intérieurs.
« Le logothérapeute a pour but d’aider son client à trouver un sens à sa vie. Grâce à la logothérapie, le client prend conscience de ses raisons de vivre cachées.
Toutefois, en essayant de ramener certaines choses à la conscience de son client, le logothérapeute tient compte de ses réalités existentielles, tels son buts dans la vie et son désir de le découvrir. Toute analyse dans son processus thérapeutique vise à rendre le client conscient de ce qu’il désire vraiment dans la profondeur de son être. »
La logothérapie s’éloigne de la psychanalyse dans la mesure où elle considère que l’être humain cherche avant tout à donner un sens à sa vie plutôt qu’à satisfaire uniquement ses besoins et ses instincts ou à s’adapter à la société et à son environnement ».
Clairement ici, Viktor Frankl se détourne de la psychanalyse de Freud ( satisfaire ses besoins primaires ) et d’Adler ( la volonté de puissance ).
La logothérapie, une approche dans le mouvement, la tension.
L’approche de Frankl sur la logothérapie est dans le mouvement ou plutôt la tension.
C’est à dire que l’homme n’est pas un corps mort inerte mais au contraire se meut en permanence.
Il se construit tout au long de sa vie. Le sens de la vie peut également évoluer.
Il est une tension permanente.
Et c’est tension qui définit l’être.
Sa condition.
Et la tension est nécessaire à la santé mentale.
Cette notion de tension est à rapprocher de la tension de l’arc, imagée par Albert Camus sur la condition humaine.
Cette tension est un point entre ce que nous avons déjà réalisé, et ce qui reste à réaliser.
Ce sens qu’on recherche devient donc nécessairement conscient, en non latent. Le sens de la vie n’est pas une qualité qu’on dispose.
C’est une recherche dynamique, inscrite dans le présent.
« Ce dont l’humain a besoin, ce n’est pas vivre sans tension, mais bien de tendre vers un but valable, de réaliser une mission librement choisie ».
Le vide existentiel.
Le monde moderne a fait évanouir les instincts fondamentaux de l’homme, qui dirigeait sa vie, ses actes.
Aujourd’hui, l’homme doit faire des choix.
Les traditions séculaires comme la religion, l’institution du mariage soutenaient le comportement.
Délités, l’homme ne sait plus que choisir. Ou il se confond dans l’imitation ( le conformisme ), ou il se plie aux désirs des autres ( totalitarisme ).
Le vide existentiel se caractérise ainsi par un état d’ennui.
Cet état d’ennui s’accélère dans une société de loisirs, où les tâches habituelles ( le déjeuner, le travail ) tendent à prendre moins de temps.
La « névrose du dimanche » est en ce sens symptomatique. Combien de personnes souffrent de ce dimanche où on est laissé libre à soi-même. Après une semaine de labeur ?
Le sens de la vie.
Comme évoqué plus haut, les formules magiques n’existent pas.
Pas de réponse toute faite.
« Chacun a pour mission de mener à bien une tâche concrète unique et, de ce fait, il ne peut être remplacé, de même que sa vie ne peut être renouvelée. La vocation de chacun est donc unique, tout comme sa façon de la réalisé ».
Frankl demande à renverser la question :
- « Quel est le sens de la vie ? » , à renverser par :
- « Quel est ton sens de la vie ? ».
C’est l’existence de sa vie qui doit poser question, plutôt que poser la question de l’existence de la vie.
« En un mot, chaque personne fait face à une question que lui pose l’existence et elle ne peut y répondre qu’en prenant sa propre vie en main ».
La responsabilité, essence de l’existence.
La notion de responsabilité est donc importante.
Le passé n’est plus là, et on ne peut le changer.
Cela invite à réfléchir dans ce défi et de la responsabilité. Et maintenant ?
La logothérapie insiste sur cette notion de responsabilité. « C’est à chacun de choisir ce dont il veut être responsable, envers quoi, envers qui ».
En ce sens, la logothérapie échappe aux valeurs imposées dans les psychothérapies classiques. C’est au client de décider.
Le logothérapeute est plutôt un « ophtalmologiste » comme l’explique Viktor Frankl : il ouvre les perspectives en ouvrant les champs de l’horizon, montrer le monde dans son entier.
L’ouverture nécessaire du soi.
L’exercice intellectuel de la recherche du sens de la vie n’est pas un acte introspectif tout à fait.
Il doit se confronter à l’ailleurs, à l’extérieur de soi.
« En disant que l’homme est responsable de réaliser son but dans la vie, je désire souligner qu’il doit le chercher à l’extérieur plutôt qu’en lui-même. ».
Ce n’est pas un système fermé. Frank parle de « l’auto transcendance de l’existence humaine« . La vie de l’être humain est toujours dirigée vers quelque chose, ou quelqu’un d’autre que soi même. Ce qu’on a évoqué plus haut, dans cette tension entre soi et le reste.
Plus on s’oublie soi même, plus on est humain, et on se réalise.
Les 3 grands sens à la vie.
Selon la logothérapie, on peut découvrir le sens à la vie de 3 façons :
- à travers une oeuvre ou une bonne action
- en faisant l’expérience de quelque chose ou de quelqu’un.
- par son attitude envers une souffrance inévitable.
Frankl est assez sensible à la dernière manière de vivre.
D’une part, il a été confronté à cette façon de vivre avec la mort dans les camps de concentration.
Ensuite, il reçoit beaucoup de malheur dans ses patients que toute la misère et souffrance humaine peuvent apporter. La souffrance d’avoir un fils handicapé, ou décédé brutalement.
Il prend ainsi l’exemple d’un singe qui sert de cobaye dans des recherches cliniques pour trouver un nouveau vaccin. Le singe saisit-il le sens de la souffrance ? Non, il n’y parviendra pas, car il a pas la faculté de la saisir.
Mais Frankl de poser la question :
« Etes vous certains que l’humanité est un point terminal dans l’évolution du cosmos ? Ne pourrait on pas concevoir l’existence d’une autre dimension, d’un monde au delà du nôtre; un monde dans lequel la question du sens ultime de la souffrance humaine trouverait une réponse ? »
Ce qu’en logothérapie, on nomme le super-sens. Un sens ultime qui dépasse les capacités naturelles limitées de l’homme.
C’est ne pas admettre que la vie est dénuée de sens. Mais d’accepter, raisonnablement, qu’on est inapte à saisir son sens inconditionnel. Cela dépasse la logique.
La religion procède largement de ce super-sens.
La logothérapie utilise le fait religieux, en fonction du patient, s’il est religieux.
La vie est éphémère.
Les éléments qui peuvent donner de l’angoisse, bien sûr est la maladie, et la mort.
Ces éléments retirent tout sens à la vie, et incluent souffrance.
Ces aspects sont transitoires de la vie, ils nous sautent à la vue, dans notre quotidien.
Et disparaissent rapidement et sont préservés dans le passé.
« Car, dans le passé, tout est conservé à jamais ».
Le caractère éphémère de la vie ne retire pas son sens. Ces moments éphémères s’inscrivent dans un passé. Ad eternam.
La responsabilité est d’actualiser de qui donne sens. Car ces moments éphémères qu’on choient deviennent empreinte, et notre sable du temps.
Quel monument de mon existence ?
Prendre pleinement conscience du temps qui passe, non comme le pessimiste qui voit les jours comptés.
Mais prendre conscience de la richesse de ce qu’on a vécu.
Déréfléchir.
Dans un monde qui demande du résultat, l’hyper attention provoque mal-être. Et contre productif.
Comme pour un homme qui se concentre à vouloir faire jouir sa compagne, par peur de ne pas être viril. Et il fait pire que mieux. Il n’y arrive pas.
L’hyper attention provoque donc des problèmes de vie. Et se concentrer coûte que coûte sur un objectif peut ne pas apporter la meilleure solution.
Déréfléchir, c’est à dire à reporter son attention ailleurs.
Dans la recherche du sens de la vie, si l’on en souffre, c’est peut être se poser ailleurs avant. Et de revenir à la question fondamentale plus tard.
Face à l’hyper attention, la logothérapie utilise l’intension paradoxale.
Ce mécanisme a par ailleurs été étudié par les psychiatres de l’école Palo Alto.
Les psychothérapies traditionnelles se posent sur le passé. Recherche ce qui a pu conduire à un trouble, une névrose.
C’est beaucoup de souffrance, de retour à un passé parfois douloureux.
La logothérapie utilise le présent et l’avenir. Et un certain pragmatisme.
L’intention paradoxale en fait partie :
Le cas classique est l’homme qui est hyper attentif : il sait qu’en public, il va rougir. Il se prépare inconsciemment à la catastrophe. Comme l’homme qui souhaite ne pas rater son expérience sexuelle.
Plutôt que de réfléchir à la cause, et la soigner, l’intention paradoxale va jusqu’au bout du problème.
Plutôt que l’occulter, l’objet est d’aller jusqu’au bout de sa névrose.
Ainsi, à un journaliste qui ne sait plus écrire, de peur de rater son article, la logothérapie lui conseillera de faire mal, de griffonner le plus mauvais article. Le résultat est radical. Le journaliste a perdu cette phobie de mal écrire.
Le remède classique par exemple pour les gens qui ont peur de ne pas s’endormir la nuit est bien c’est de leur conseiller de ne pas dormir. Et de rester éveiller.
Le mécanisme de rétroaction est celui ci : l’anticipation d’un symptôme engendre la phobie qui déclenche le symptôme. Cercle vicieux qui entretient la sensation d’une obsession, d’une névrose. Et la lutte contre cette obsession renforce le mal. Déréfléchir, et cesser de lutter contre l’obsession, en la ridiculisant est particulièrement efficace. Le cercle vicieux peut être brisé.
Le choix, son choix, la liberté de l’homme.
Le grand danger que souligne Viktor E. Frankl est la vision souvent courante d’un homme soumis à ses influences biologiques, et sociétales.
Certes, « l’homme est enclin à croire de toute façon qu’il soit la victime d’influences extérieures, ou de circonstances internes. Certes, la personne humaine est limitée, tout comme sa liberté.
Elle n’est pas libre par rapport aux conditions qui l’entourent, mais elle peut prendre position à leur égard.
Je suis pleinement conscient que l’être humain est influencé par certaines conditions biologiques, psychologiques, et sociologiques.
Mais comme j’ai survécu aux camps de concentration, je peux témoigner de l’aptitude incroyable de l’être humain à défier les pires conditions inimaginables. L’être humain n’est pas complètement conditionné ; il a le choix d’accepter les conditions qui l’entourent ou de s’y opposer.
En d’autres termes, il ne fait pas qu’exister, mais il façonne lui-même sa vie à chaque moment ».
Un sens de la vie à suivre. Respect.
[ Viktor E. Frankl, Découvrir un sens à sa vi avec la logothérapie ]
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