500 000 visites sur ce blog, consacré aux sciences de l’information et de la communication.
C’est avec une petite émotion ( un peu narcissique 🙂 ) que je découvre le bonheur du blogueur :

Un petit demi-million… ca fait beaucoup de lectures.

HALF A MILLION ! WAHOUUUUU

Oui, ce n’est pas fabuleux. Oui, c’est fabuleux ( pour moi ). Merci !

Le bonheur, avec mes lecteurs

Le mieux, c’est de laisser parler mes lecteurs.
( non exhaustif ).
– mon premier article sur les définitions du monde numérique est publié sur Netpublic.fr , site gouvernemental sur la pédagogie sur internet : Dictionnaire de la vie numérique et du web.

Il existe des manières de retrouver le fil de ces expressions contemporaines et de les rendre compréhensibles pour tous. C’est le chemin poursuivi par Guillaume Boute qui délivre sur son blog ZeBoute consacré aux Sciences de l’Information et de la Communication (SIC) et à une réflexion critique sur les pratiques informatique et Web

– la police belge reprend un article sur la proxémie, sur le portail polivier secure.be
Site référencé par Jean-Paul Wuyts, commissionnaire divisionnaire de la police belge, et licencié en criminologie et psychologie, à propos de mon article sur la proxémie.:   Proxémique à l’usage des intervenants sur le terrain.

– un journaliste de l’express qui veut m’interviewer sur le phénomène Twitter. Matthieu Beigbeder, journaliste à l’Express :

Je consulte régulièrement votre blog, et je vous sais particulièrement au point sur la question (Twitter). bravo pour votre blog.

– un directeur régional de l’éducation nationale en Côte d’Ivoire qui utilise en support de ses formations mes billets.
Bieza Gervais, @biggerv53 sur Twitter, Directeur Régional Education Nationale ( Côté d’Ivoire ):

le blog de Zeboute est » une source d’eau fraîche à laquelle je m’abreuve » (aspect poetique du langage n’est ce pas ! ? ) chaque fois dans mes séminaires de formation

– le ministre Montebourg qui suit mon compte Twitter : parler #MadeInFrance interloque.
– le Slip Français. Qui a le regard décalé et sémiotique comme j’aime : Le slip Français ou la start-up qui a tout compris !
– Mel #10 :

Un blog que je recommande sans hésiter :zeboute.wordpress.com Articles très intéressants tant au point de vus de la culture que de la com – Et le bonheur de pouvoir être ce que je suis, et écrire ce que je veux #JeSuisCharlie.

Le bonheur en chiffres.

Les articles les plus consultés :

• fonctions du langage de jakobson : 22 822.
• proxémie ou l’espace de communication de vivre ensemble : 19756.
• La nouvelle jeunesse du dièse sur les réseaux sociaux, selon Twitter : 16628.

2280 fidèles qui me suivent, merci !
Et tous les autres !
111 pays, y compris la cité du Vatican, Sainte-Lucie, et des pays que je ne connais pas, je dois revoir ma géographie.
France, Maroc, Belgique, Algérie, Canada et Etats Unis réunissent 74 000 visites , 30 % des visiteurs, depuis 2012, date à laquelle j’ai ouvert la mappemonde des visiteurs du blog.

Le bonheur, en exigence.

La thématique des sciences de l’infocom est souvent diluée dans les informations relatives au web.
Et la tentation est facile de bloguer sur des sujets « tendance », qui font le buzz.
Et mon exigence, ici, est toujours de trouver le recul nécessaire aux passionnés de cette discipline.
Beaucoup d’étudiants, de professeurs, m’ont encouragé, interpellé. Et c’est génial.
[ c’est le seul regret, c’est que beaucoup aiment lire ce blog mais n’osent pas inter-échanger ].

Le bonheur, in real Life.

Bloguer sur internet, c’est être un peu tout seul, devant son écran.
Aussi, lorsque j’ai pu rencontrer quelques lecteurs, ce moment est un peu jouissif : les amis, mes collègues du boulot ( via google+ le méchant 🙂 ), et des belles rencontres, comme cocoon.

Rencontrée lorsque je me suis lancé sur le webzine XyetZ, la relectrice connaissait déjà mon blog. Le must 🙂 !
Et ça me fait toujours bizarre d’être interpellé Zeboute ( qui n’est pas mon vrai nom ).
A suivre,
Ici, point de publicité. Ma seule publicité ( au sens originel du terme ) est de diffuser mes petites lectures, pépites, réflexions.
Je n’ai pas la prétention d’un être un gourou du sujet. J’utilise un peu mes neurones, et surtout ma mémoire.
Car notre monde numérique va vite, très vite, et pourtant re-boucle ad eternam sur notre passé d’être humain.
Qui ne cherche qu’une chose dans ce brouhaha de violence, d’angoisse, d’interrogation : tendre l’arc de la condition humaine.

Avec les autres, si possible.
Je vous aime.