L’identification à son idole, à une icone, s’est matérialisée à travers les siècles, par une empreinte par le sens : l’ouie, l’oeil et le neurone, l’oeil et la ressemblance à son icone , le doigt sur les nouveaux usages des téléphones et réseaux sociaux, où l’on clique, d’un doigt.
Cette histoire de la médiologie, fondée en « science » par Régis Debray interroge notre rapport à nos mythes, nos idoles, nos stars. Dans un nouveau terrain, qu’est la toile et internet, s’ouvre une nouvelle dimension. Dans un monde où l’appareil numérique nous est propre et personnel, n’a-t-on pas son propre idole, secret, un avatar qu’on partagera par un tweet sur twitter ou un « I Like » sur Facebook ?
Serait ce la fin des icones, et chacun son modèle ?
On lira donc : La fin des icones, chacun son modèle ?