La vie rêvée ou pas d’un gay : les crevettes pailletées

La vie rêvée ( ou pas ) d’un gay.

Le film «  les crevettes pailletées » célèbre la friendly gay attitude.

La majorité des français soutient ses citoyens; peu importe leur religion ou leur sexualité. Et c’est  génial.

Temps de lecture : 2 minutes !

Un beau film qui rassemble notre France bienveillante.

Et voici deux nouvelles histoires autour de ce film !

Kevin.

La première c’est celle de Kevin.

Kevin a été chassé de sa famille.

Il est homo. Il n’a pas choisi.

On choisit pas sa vie sexuelle. Sinon, sachez qu’il est plus simple d’être hetero.

On se pose moins de question.

Et surtout on est intégré dans la société « normative ».

Lorsque le père de Kevin a compris que son fils était gay, il l’a insulté.

Et l’a chassé du toit familial.

Kevin n’a même pas pu prendre ses affaires. Il est tombé dans la rue, alors qu’il avait une mère et un père.

En tant qu’enfant, c’est un acte horrible.

Voilà pourquoi des jeunes se retrouvent à la rue.

Je pense à ce petit jeune homme qui n’a rien demandé, qui veut juste vivre et qui aime ses parents. Qui l’ont jeté à la rue. Où est l’amour ?

Les préjugés sont destructeurs.

Dans la mer tulmutueuse, prendre refuge dans des associations heureusement présentes, comme le refuge existent

Association soutenue par Murielle Robin.

Elle accueille ces jeunes qui ont des parents mais qui les ont jetés dehors : le refuge.

Soutien à cette association !

Laurent

La deuxième histoire est plus triste :

Laurent s’est donné la mort hier.

Il ne supportait plus les quolibets à son propos. Il ne trouvait aucun soutien dans un monde où même dans le temps qui donne les droits aux homos de pouvoir se marier, on est seul. Avec ses questions, ses doutes.

Les doutes, pour n’importe quel adolescent, c’est normal.

Comment être beau pour toucher la copine du collège ?  Comment attirer l’attention ? comment effacer ses boutons d’acné pour être plus beau…

Et comment dire à l’autre, un garçon qu’on l’aime ne sachant rien de ses désirs.

Et si je lui dis, ce serait normal qui dise  » non » , sans qu’il frappe, vous menace, vous fustige. Ou propage sur les réseaux sociaux ; « ah ah, Laurent me kiffait ».

Laurent, il ne kiffe plus. Il est mort. Il a serré sa ceinture bien fort. Pour oublier, s’oublier.

C’est le questionnement de soi, quand on se découvre. Mais il n’est pas normal de prendre une ceinture, de la serrer sur son coup pour en finir avec ses jours. Seul. Trop seul. Terriblement seul.

30% des jeunes homos, vos enfants, se suicident.

Parce qu’ils subissent la pression d’un monde et que leurs parents fuient la réalité.

 

Parce que vivre l’homosexualité est je pense terrible lorsqu’elle est sienne et Qu’elle est dénigrée, peu comprise .

 

Comment peut on s’endormir le soir avec tant de doute, de blessures.

Alors que petit jeune, la vie devrait être un élan.

Profiter, bousculer, vivre, respirer.

Et ne pas suffoquer.

 

Bienveillance !

Un don pour le refuge bienvenu !

Je fais un don au Refuge / Je deviens adhérent

 

On lira aussi : Faire son coming out  ?

 

 

 

 

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