Pourquoi les SIC : la vie et rien d’autre !

imageNotre vie a changé.

La vie est devenue connectée.

Le clavier AZERTY est devenu l’objet de l’instant.

C’est le monde génial et horrible qui est à portée de main.

Let’s go !

C’est d’un ancien monde dont je parle. Parce que le monde a changé.

Et nous vivons une fulgurante évolution.

Et en tant que génération A, before génération Y, nous avons la chance de voir , de regarder, de scruter notre nouveau monde.

C’est le plus beau voyage , quand on connaît les cartes.

Et c’est l’objet des SIC. Je veux dire les sciences de l’information et de la communication.

Terriblement d’actualité. Suivez les mouvements. Suivez moi !

Les nouvelles technologies ont apporté l’essentiel : ici j’écris. Je suis lu dans des pays improbables que je ne connais même pas. Mais c’est ce que j’écris qui attire. Et être lu, en tant qu’écrivain est jouissif.

vie_bonheur_croquer_resister_zebouteRappel de la vie, avant internet : à 14 ans, j’imprimais sur mon ordinateur, le commodore 64, des petits journaux en feuille de papier ; que je vendais dans le quartier.

Ensuite, adolescent , j’écrivais plus intimiste mes vies improbables. Mes lectures. Mes chocs culturels qui faisaient de moi. Moi. Les émissions de radio sur le Liban, les écrivains comme Albert Camus.

Les émissions culturelles que j’écoutais avant de me coucher. Les mots que je découvrais, loin de l’école. Les premiers poèmes. Les premiers émois.

La découverte du corps, de l’autre. Et de mon essence.

Les amitiés adolescentes. La camaraderie, à l’armée. Et tout ce que cela signifie.

Et à cet instant, le pavé de Daniel Bougnoux, un recueil édifiant et magique de notre modernité. Sur les sciences de l’information et de la communication : Austin, Hugo, Debray, Morin, Turing…

Ce bouquin, que je consulte encore, c’est une référence.

Bref, aujourd’hui, comprendre le monde avec le recul sur les technologies, les mots, les journaux, c’est s’inscrire dans le monde.

Et il faut y vivre, ne pas avoir peur, comme les apocalyptiques.

continuer à faire ce que j’ai fait depuis le jour où j’ai eu quelques neurones et l’indépendance de l’adolescent : écrire.

Et quoi de plus linéaire que d’écrire mes articles tout petit à quelques exemplaires, ici, lus et partagés par 400 lecteurs tous les jours !

Merci.

Et donc, revenons au fait :

Comme dit Michel Serres; la langue française n’est pas dans la sémantique, mais dans la syntaxe.

Faire jouir les tournures de phrases, et derrière les tournures faire jaillir les subtilités.

Celles d’un monde, vous, moi, sensibles aux mots, à l’exigence de ce qu’apporte les SIC :

Le monde, ici, maintenant. Avec la larme, la sueur du corps, la sensibilité du coeur.

Un peu universelle.

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