
Les années passent, et comme chaque année, vous avez ( peut être de bonnes résolutions ). Par expérience, beaucoup ont abandonné l’initiative de prendre son destin en main. Alors ? Pourquoi ne pas le laisser entre d’autres mains, neutres, par un dé ?
C’est la découverte extraordinaire et subvertive d’un auteur, Rhinehart. Un livre longtemps interdit en France…
S’il y a dans votre vie lire un livre, qui se lit facilement, c’est L’homme Dé, de Rhineart.
Pourquoi ? car dans ce roman, il introduit un concept de vie qui pourrait être utile…
Notamment quand on ne sait pas se décider ( ce qui est mon cas 🙂 ) .
Et mieux, introduire pour se dépasser, une petite idée qui pourrait vous pousser à vous propulser !
Le concept de l’homme dé, selon Rhinehart.
L’idée est simple : Choisissez 6 propositions de vie, 6 faces sur un dé.
Lancer les dés et respecter la proposition.
Cela est sérieux, et loin des jeux en fin de soirée avec les amis. ( le Drink game ).
3 règles sont essentielles :
- La règle numéro 1 : ne jamais remettre en cause le dé.
C’est la règle stricte qu’on ne peut déroger. Sinon, l’aventure n’a aucune valeur. Souvent en soirée ( un peu arrosée ), on abandonne des défis. Ici, pas question. Les propositions doivent être construites, et ne pas les déroger.
- La règle numéro 2 : Je choisis les différentes options à décider de la manière suivante.
6 possibilités de choisir notre destin. Oser de lancer le dé, c’est s’engager. ( voir règle numéro 1 ). Aussi, rester bienveillant et choisir des propositions accessibles ; dans un premier temps. Avant de passer à la règle 3…
- La Règle 3 : oser les possibles.
Sur les 6 faces, l’une des propositions doit vous faire aller plus loin. Vous dépasser. Alors, il n’y a qu’une chance sur 6 pour la suivre. Cela doit vous rassurer. Mais en même temps, avoir déterminé dans sa tête une option que vous n’oseriez pas, c’est déjà intérioriser que c’est une proposition acceptable. Et qui vous changera la vie. N’oubliez la règle numéro 1. Soyez indulgents avec vous.
Pour en savoir plus, lisez ici : L’homme dé, selon Rhinehart
