A quoi servent les théories, les études psychanalistes, ou les formations d’entreprise de communication ? Si elles n’apportent pas de concret pour nous, what’s up ? A quoi cela sert ?

Les Sciences de l’Information et de la Communication sont une science née au XXeme siècle. Peu enseignée. Peu vulgarisée. Frustration que j’essaye ici par ce blog de rendre jouissif. Et intéressant.

Car ce domaine des SIC est jouissif : il est moderne, d’actualité, et ancré dans notre monde de communication. La société tertiaire, née dans les années 1970 s’est ajoutée une nouvelle dimension : l’ère de la communication.

En ce sens, Paul Watzlawick est un modèle. Chercheur de l’école Palo Alto, il a pu nourrir des approches innovantes en psychiatrie, notamment sur la schysophrénie.

Mais Paul Watzlawick a une vision intéressante : les études et recherches en communication doivent servir l’homme, au quotidien.

Ainsi, à côté de ses publications scientifiques, il a écrit des ouvrages à l’usage de tous. Comme « Faites vous-même votre malheur ». Une tentative avec humour de décoincer les sciences de la communication.

Comme l’indique dans son introduction de ce livre :

« Même dans les écrits des professionnels ( c’est à dire des psychiatres et des psychologues ), les renseignements utiles sont rares, et le plus souvent fournis au hasard, en dehors de toute intention de leur auteur« .

On lira donc la logique de la communication, texte essentiel de l’école de Palo Alto de San Francisco.

Voilà l’objet ici, de rapprocher les bonnes pratiques de la communication.

Car au delà de la théorie, ici formulée, par les textes essentiels ; les bonnes pratiques de la communication doivent nourrir notre rapport au monde.

On trouvera des bonnes pratiques « analogiques », c’est à dire ancrées dans notre sphère privée, ou professionnelle. Ou « digitales », c’est à dire relatives au monde né au XXIeme siècle, dans nos usages numériques au quotidien.

On retrouvera ces bonnes pratiques, ici, dans la catégorie « Bonnes pratiques de communication« .

Bonnes lectures, bon usage !

A revenir : les bonnes pratiques de communication