A l’aube de mon premier million de visites sur ce blog, petit pincement au cœur.
J’aime écrire. J’aimerais parler avec mon cœur.
Vous aimez me lire… alors.. dites-le moi.
J’attends vos kifs.
Une petite histoire de blogger.
En mai 2010, je posais mes premiers mots numériques.
Assez naturellement, sur le clavier.
D’abord, parce que feu ma mère chérie m’avait donné son ADN du clavier.
Elle même écrivait sur ce qu’on appelait la machine à écrire le journal municipal de la ville de Grande-Synthe.
Maman maîtrisait l’écriture rapide avec le sténo dactylo. ; une écriture magique et incompréhensible pour le commun des mortels. Une technique qui permettait de prendre des notes rapidement , en écoutant son patron.
Ensuite, l’écriture facile, c’est qu’elle a commencé pour moi depuis l’adolescence. En écrivant sur des cahiers brouillons.
L’arrivée du web 2.0 m’a permis d’écrire mais surtout de faire partager. C’est la magie du web.
Aimez les bloggers, ils ne cherchent pas à gagner du fric. Mais partager leur passion.
Alors sur mon petit sujet des sciences de la communication, le sujet est moins glamour que les fake News. Les sites pornos.
J’ai choisi ce qui me fait vibrer; et qui j’espère vous fait vibrer.
Le blues du blogger.
Avec plus de 500 billets, toutes les semaines, un billet.
C’est une hygiène de vie que de tenir un blog.
Surfez, la plupart naissent et meurent. Un blog est comme une petite plante, faut arroser toutes les semaines.
Voilà. Alors ma propre maman m’a reproché de trop écrire, d’être trop connecté. ( elle préférait que je m’occupe d’elle lol, elle en avait besoin ).
Blogger c’est écrire, passer des heures sur le bon mot. Pour jamais savoir si ce qu’on écrit plait. C’est 90% de sueur pour 10 % de retour. A peine. Mais chaque retour est comme une jouissance qui vous meut !
Pour vous ; et ma moitié aussi qui ne me lit pas.
L’important, c’est ce que je vous apporte.
J’ai finalement compris au delà des statistiques de mon site qui montait en puissance qu’il y avait des gens qui me lisaient.
- Des étudiants pour leurs corrigés.
- Des professeurs qui traçaient leurs étudiants qui recopiaient mes articles.
- Des modérateurs de Wikipedia qui ont refusé des articles sur Wikipedia car ils copiaient mon blog.
- Des journalistes.
- D’autres qui ont repris l’essence des textes. Et que je ne connaîtrais jamais. Ils ont juste copié.
- D’autres dans des lieux improbables, comme en Indonésie. Où il n’y a pas de bibliothèques de livres mais l’accès universel à
Internet. - Des directeurs d’agence de,Communication qui partageaient les billets dans son équipe . Et qui gentiment m’envoie un
Petit cadeau tous les ans. - Un professeur d’université qui publie un de mes billets dans son livre.
- Des mots gentils de lecteurs qui aiment mon style, au delà du contenu que j’écris.
Alors oui merci à vous lecteurs .
En toute naïveté, petit clin d’œil sur mon premier article.
J’ai parlé avec mon cœur.
Parlez avec le votre.
Je ne change pas.
J’ai besoin de vous , car mon travail ne mérite pas d’argent.
Juste un petit commentaire bienveillant 😀.
Merci.
Je stresse. Un commentaire ?
Voilà, à nu, mon premier billet…
Pourquoi écrire, pourquoi réfléchir, pourquoi la culture ? En corollaire, pourquoi vivre ?
Le format du blog ne permet pas l’explication. Par contre, il exige synthèse, « efficacité ».
Voici le résumé du 1er épisode.
Du trou béant, je me suis construit, on m’a construit. L’ école Républicaine m’a formé un esprit. C’est là que j’ai connu ma première rupture spirituelle, par le grand Albert Camus. « Je me révolte donc je suis ». Je pose Dieu, je pose l’absurdité. Tout coule, tout fuit, toutes les certitudes vascillent. Rencontres, livres, théories. Penseurs. J’ai lu beaucoup.
Pour en arriver où ? la liberté de penser ? Pour quoi faire ? Se transcender ? Qu’est ce que c’est ?
J’apprécie vous lire parce que vous êtes clairvoyant sur des phénomènes sociétaux que nous ocultons ou qui parfois nous dépassent.
Être d’accord, ou pas avec votre point de vue lance souvent une réflexion.
Merci de partager avec nous votre plume.
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Merci pour ton retour. Dis moi en un peu plus sur toi. Merci, tu es le premier kif !!
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Mon cher Guillaume je trouve que tes articles sont très intéressants. Je vais montrer ton blog à Amélie car elle aussi adore écrire et je suis sûre que ça va lui plaire. Bonne continuation, tes parents seraient très fiers de toi.
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Merci oui écrire est un acte fort, qui inscrit sa pensée définitivement.
Merci pour ton ptit commentaire
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Bravo Guillaume, quel travail de réflexion, cela m’impressionne !
Je mesure la difficulté de trouver sans cesse et sans cesse de nouveaux sujets de réflexions, pensées.
Ne t’arrête pas, tous mes encouragements 👍😉
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Merci , oui la condition humaine, les sciences de l’information et de la communication sont un sujet passionnant, qui réunit. Mais qui demande exigence d’ouverture .
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Merci Guillaume, encore une belle façon de nous introduire dans « ton coeur »… J’adore tes titres, t’es textes, t’es sujets… Ton inspiration !!!! Merci pour partager tout cela avec nous.
Ici je te découvre autrement, et j’admire ta façon de toujours trouver les mots précis pour nous inviter à la réflexion. En tant qu’une de tes lectrices « très passive », je t’encourage à continuer… stp…
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Merci gabriela ! Dommage que je ne connaisse pas l’espagnol ☺️
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😉 …
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Je ne connais que cette phrase en espagnol : tu ères là ninia de me oros 😀
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Il est bon de se poser , »pauser »,se laisser aller à réfléchir,un petit peu,mais combien difficile de mettre des mots…bravo.
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Merci Daniel pour ce beau mot. Se « pauser ». J’aime bien ce mot. Une pause parfois pour mieux respirer et oser. Et rebondir.
Guillaume.
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On ne perd jamais son temps à lire ce blog. L’art de la communication
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Merci Damien, un vrai slogan de communiquant 😀
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Dans le flot des mails, celui-là s’invite toujours parmi les favoris. Merci (et ça rime;). Vu le cœur de mon activité professionnelle, la communication interne, je ne suis pas insensible à la pertinence de tout ce qui est véhiculé et si positivement vulgarisé sur ce blog.
De plus, on pressent ici de l’émotion, l’homme existe derrière le clavier, l’intelligence n’est pas encore artificielle, ouf, on respire encore…
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Merci, oui l’intelligence artificielle ne se confond pas encore dans le cœur et l’émotion. À suivre…
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